Troisième tome des aventures de la famille Faldérault, Mam’zelle Estérel est tout aussi réjouissant et rigolo. Ce fut à nouveau un très bon moment de lecture.
1992, les années ont passé, le jeune couple est maintenant à la retraite, la petite Pépète est devenue une jeune fille et la 4L est à vendre… L’occasion de se remémorer l’année 1962, leurs toutes premières vacances à son bord en compagnie… des beaux-parents. Les vacances avec Yvette-la-parfaite et Gros-Papy seront plus gastronomiques que bucoliques… en direction de Saint-Étienne !
Ce que j’aime dans cette série, ce sont les bonds dans le temps qui nous permettent de découvrir la vie en accéléré de la famille Faldérault. Ce troisième tome démarre en 1992, alors que Pierre et sa femme sont à la retraite et mettent en vente leur 4L. C’est l’occasion pour eux de se remémorer son premier voyage en 1962 lorsqu’ils sont descendus à Saint-Etienne. Les vacances étaient alors loin de correspondre à l’idéal de Pierre.
Direction la Loire en compagnie des beaux-parents du père de famille ! L’expérience est différente de ce à quoi il s’attendait. Yvette et son guide Michelin vont régenter tout le séjour. Les voilà installés à l’hôtel, ils mangent au restaurant, visitent musées et églises et descendent par l’autoroute. Les vacances en famille se transforment rapidement en vacances d’Yvette. De quoi hérisser le jeune belge amateur de camping, de pique-nique, de route nationale et de repos.
Si ce tome-ci diffère de l’ambiance des deux précédents, la nostalgie et le bonheur des moments en famille sont pourtant toujours bien présents. Les répliques d’Yvette sont hilarantes et ne manqueront pas d’agacer Pierre et sa femme. C’est toujours un véritable plaisir de lire les aventures de cette famille belge, qui nous font rire et sourire et rappellent comme les vacances sont un moment joyeux et convivial.
Pierre n’a pas toujours eu les vacances dont il rêvait ! En 1962, c’est à Saint-Etienne qu’il pose ses valises avec sa famille et ses beaux-parents. Pas de camping, pas de pique-nique et pas de route nationale ni de chansons pour passer le temps. Pourtant, l’ambiance jovial et rigolote des vacances est au rendez-vous et c’est encore une fois un très bon moment de lecture.