Bande-dessinée - jeunesse

Sorceline, tome 2 : La fille qui aimait les animonstres • Sylvia Douyé et Paola Antista

J’ai découvert complètement par hasard la saga Sorceline l’année dernière en flânant dans les petites allées de la bibliothèque et je suis aussitôt tombée sous le charme des graphismes et de l’univers. J’ai décidé qu’il était plus que temps de continuer ma découverte avec la sortie prochaine du tome 4 cet automne.

Les élèves poursuivent leur stage de fantasticologie chez le professeur Archibald Balzar. Mais Sorceline est rongée par la culpabilité. En effet, comme elle pense être responsable des disparitions de ses camarades, elle peine à se concentrer en classe et perd toutes ses capacités. Il lui est alors de plus en plus difficile de cacher ses états d’âme surtout face à Alcide qui est un peu trop prévenant, Willa, trop curieuse, ou Mérode… décidément très étrange. Pourtant Sorceline n’est pas la seule à faire des cachotteries. Et d’ailleurs quand sonnera l’heure des révélations, personne ne sera épargné par la stupéfaction !

Un univers magique et sombre

C’est un aspect que j’avais énormément aimé et qui a continué de me fasciner dans ce deuxième tome : l’univers créée par les autrices/illustratrices. A la fois magique, fantastique et mystérieux, l’île de Vorn, île secrète sur laquelle se déroule l’histoire, me fascine. Elle me rappelle des inspirations telles que Les Animaux Fantastiques, Harry Potter ou encore Le secret de Terabithia. Au cœur de ce paysage ensorcelant, on faisait la rencontre de Sorceline, apprentie cryptozoologue, stagiaire chez le professeur Archibald Balzar.

Un apprentissage tourmenté

Dès le premier tome, des phénomènes inexpliqués venaient troubler la quiétude du stage des six apprentis : Willa, Alcide, Mérode, Sorceline, Tara et Arlène ; et nous plongeaient, lecteurs, au cœur d’un étrange mystère. On repend donc la lecture là où l’histoire s’est arrêtée à la fin du premier volet, de nombreuses questions demeuraient alors sans réponse, laissant Sorceline dans une angoisse qu’elle ne pouvait partager à ces camarades. Les personnages évoluent, chacun ayant son rôle à jouer et si c’est une suite directe, c’est une nouvelle aventure que vivent les stagiaires du professeur Balzar, entre interrogations, inquiétudes et petits éléments de réponse.

Des graphismes magnétiques

Si je suis autant sous le charme de cette bande-dessinée, c’est aussi parce que le travail autour des illustrations est un coup de cœur total. Je suis complètement en admiration devant les planches féériques et merveilleuses créées par les autrices et illustratrices. Les graphismes sont un élément essentiel pour se sentir plonger dans une histoire et ils continuent ici de nous immerger dans un univers où fourmillent des créatures fantastiques fascinantes et magnifiques. Mille détails se cachent derrière chaque illustration, rendant cette bande dessinée visuellement incroyable.

Ce deuxième tome nous plonge encore plus profondément dans les mystères qui entourent Sorceline et l’île de Vorn. Je suis complètement sous le charme des graphismes, qui sont absolument merveilleux, fourmillant de mille détails et de créatures fantastiques fascinantes. Cette bande dessinée est visuellement magnifique !

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